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EAN13
9782918061281
ISBN
978-2-918061-28-1
Éditeur
VISAGE VERT
Date de publication
Nombre de pages
192
Dimensions
26 x 14 x 1,5 cm
Poids
400 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Le Visage Vert N°25

Visage Vert

Offres

C’est un sommaire plutôt éclectique que nous offrons aujourd’hui à nos lecteurs. Gageons que leur patience, qui aura été mise à rude épreuve – notre dernière livraison date, en effet, de juin 2014 –, sera justement récompensée.Le deuxième article consacré aux loups-garous dû à Michel Meurger ouvre le présent numéro. Il explore cette fois-ci le garouage de la Renaissance au Siècle des lumières, celui-là même des brigands meneurs de loups et de la Bête du Gévaudan. Un court récit du polygraphe Rétif de la Bretonne, « La Bête excommuniée », ponctue cette étude et nous donne dans le même temps un exemple rare de conte fantastique des origines (1784).« Ce qui m’inquiète et m’intéresse le plus dans la vie, ce sont le péché et la nuit », telle est la profession de foi d’Antonio de Hoyos y Vinent, sorte d’alter ego ibérique d’un Jean Lorrain des années 1920. Ce sont deux contes fantastiques que nous reprenons de ce « dandy aristocrate, humaniste et libertaire », que Norbert Gaulard évoque dans sa présentation . À la même période, mais dans un registre plus classique de hantise post-victorienne, Jessie Douglas Kerruish a imaginé une chute des plus surprenantes pour « La Danse du spectre ». L’originalité de ce texte tient en outre au « métier » de son héros, Lester Stukeley, un détective de l’occulte.Rares sont nos incursions dans les lettres flamandes d’expression française. D’où notre plaisir de proposer « La Porte », un texte inédit de 1947 dû à Guy Vaes et précurseur de ses grandes œuvres romanesques placées sous le signe de l’étrange, à commencer par Octobre, long dimanche (1954). En plus de nous avoir guidés vers ce texte, publié avec l’accord de Mme Vaes, que nous remercions vivement, Danny De Laet nous invite dans son article à une belle et érudite évocation du fantastique flamand.N’oublions pas la chronique « En cimaise » de François Ducos – consacrée au parcours d’Édouard Yrondy –, ainsi que les deux légendes enjouées, d’inspiration médiévale, écrites et illustrées par leur auteur, Albert Robida. Le premier récit fut publié dans un recueil d’hommages à l’illustrateur Louis Moulignié, qu’introduit pour nous Fabrice Mundzik.
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