- EAN13
- 9782364292093
- ISBN
- 978-2-36429-209-3
- Éditeur
- Yves Michel
- Date de publication
- 09/03/2022
- Collection
- ENJEUX DE SOCIE
- Nombre de pages
- 420
- Dimensions
- 22 x 14 x 2,8 cm
- Poids
- 613 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aux origines de la "théorie du complot"
Un outil de contrôle de la pensée
Lance deHaven-Smith
Yves Michel
Enjeux De Socie
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L’étude universitaire rigoureuse de deHaven-Smith donne des clés simples pour comprendre cette stratégie et se réapproprier le droit de savoir, de comprendre, de douter. C’est un plaidoyer pour redonner une place au débat de société.
L’étude universitaire rigoureuse de deHaven-Smith donne des clés simples pour comprendre cette stratégie et se réapproprier le droit de savoir, de comprendre, de douter : un plaidoyer pour redonner une place au débat de société.La « théorie du complot » permet de ridiculiser et de décrédibiliser toute personne osant exprimer des doutes, ou des critiques, sur l’interprétation officielle (celle des gouvernements relayée par les médias mainstream) d’événements politiques de grande ampleur (assassinats, attentats, guerres, pandémies…). Les dissidents sont désormais taxés d’être « complotistes » ou « conspirationnistes ». Cette attaque ad hominem, destinée à juguler le scepticisme croissant des populations vis-à-vis des élites, a été utilisée massivement dès 1964 par la CIA, pour interdire la mise en cause des conclusions de la Commission Warren (mandatée sur l’assassinat du Pdt J.F. Kennedy).
L’étude universitaire rigoureuse de deHaven-Smith donne des clés simples pour comprendre cette stratégie et se réapproprier le droit de savoir, de comprendre, de douter : un plaidoyer pour redonner une place au débat de société.La « théorie du complot » permet de ridiculiser et de décrédibiliser toute personne osant exprimer des doutes, ou des critiques, sur l’interprétation officielle (celle des gouvernements relayée par les médias mainstream) d’événements politiques de grande ampleur (assassinats, attentats, guerres, pandémies…). Les dissidents sont désormais taxés d’être « complotistes » ou « conspirationnistes ». Cette attaque ad hominem, destinée à juguler le scepticisme croissant des populations vis-à-vis des élites, a été utilisée massivement dès 1964 par la CIA, pour interdire la mise en cause des conclusions de la Commission Warren (mandatée sur l’assassinat du Pdt J.F. Kennedy).
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