Le projet à l’origine de toute chose. Résonnant dans l’écho diffus des programmes, protocoles, procédures, et autres recommandations de bonnes pratiques, ces recours à une méthodologie de bon ou plus mauvais aloi font alors figures de rigueur épistémologique, et donnent par un biais essentiellement prescriptif des allures fugaces de caution « scientifique » à l’usage de l’humain dans la prise en charge de tous ces publics que l’on dit « vulnérables ».
Le projet, c’est le pré-texte pour l’anthropologue en son terrain d’investigation et d’aventure, au parcours scrupuleusement consigné au gré de tant de traces, pistes, signes repérés au plus près d’un quotidien partagé, et compilés avec minutie. Et il en va de même pour l’éducateur et le soignant qui, eux aussi, évoluent au cœur d’une « singulière ethnie ». Jamais de méthode de travail pré-contrainte mais outil de fabrication d’un avenir possible. Ouvert, en somme.
Le projet, c’est le pré-texte pour l’anthropologue en son terrain d’investigation et d’aventure, au parcours scrupuleusement consigné au gré de tant de traces, pistes, signes repérés au plus près d’un quotidien partagé, et compilés avec minutie. Et il en va de même pour l’éducateur et le soignant qui, eux aussi, évoluent au cœur d’une « singulière ethnie ». Jamais de méthode de travail pré-contrainte mais outil de fabrication d’un avenir possible. Ouvert, en somme.
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