- EAN13
- 9782841413751
- ISBN
- 978-2-84141-375-1
- Éditeur
- Ancre de Marine
- Date de publication
- 22/09/2016
- Collection
- Manuels de naviguation
- Nombre de pages
- 246
- Dimensions
- 22 x 15 x 1,8 cm
- Poids
- 339 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
Du livre que vous tenez en main, voici ce qu’écrit Pierre MAC ORLAN, l’immense écrivain à qui nous devons tant de belles pages sur la mer et le voyage :
« Des hommes qui vécurent sur l'île [d’Ouessant] l'ornèrent de deux monuments impérissables : La Mer, chef-d'œuvre de Kellermann
et les Filles de la pluie. »
Le grand peintre Jacques Burel a refusé d’illustrer ce livre.
Voici pourquoi :
« J'avais avalé La Mer – si j'ose dire – d'une seule traite. Le livre fourmillait d'images, de bruits, d'odeurs et rien n'y était dit qui ne fût de toute évidence éprouvé sur place. La magie du verbe y joue pleinement et chacun recrée images, sons et parfums pour lui-même.
Vous ouvrez à n'importe quelle page et vous êtes à Ouessant, le vent vous empoigne, la mer tonne à la pointe de Pern et vous oubliez tout le reste. Le temps a disparu !
Illustrer un tel bouquin était un sacrilège. Nul n'avait, me dis-je, le droit de déposer des images au pied de ses paragraphes, d'imposer sa vision aux autres, d'appauvrir l'oeuvre et de la déflorer. »
Oui, par sa poésie brute, sa profondeur sentimentale, sa puissance évocatrice du paysage et des hommes, La Mer est un chef-d’oeuvre de grande littérature, le vrai roman de l’île d’Ouessant.
« Des hommes qui vécurent sur l'île [d’Ouessant] l'ornèrent de deux monuments impérissables : La Mer, chef-d'œuvre de Kellermann
et les Filles de la pluie. »
Le grand peintre Jacques Burel a refusé d’illustrer ce livre.
Voici pourquoi :
« J'avais avalé La Mer – si j'ose dire – d'une seule traite. Le livre fourmillait d'images, de bruits, d'odeurs et rien n'y était dit qui ne fût de toute évidence éprouvé sur place. La magie du verbe y joue pleinement et chacun recrée images, sons et parfums pour lui-même.
Vous ouvrez à n'importe quelle page et vous êtes à Ouessant, le vent vous empoigne, la mer tonne à la pointe de Pern et vous oubliez tout le reste. Le temps a disparu !
Illustrer un tel bouquin était un sacrilège. Nul n'avait, me dis-je, le droit de déposer des images au pied de ses paragraphes, d'imposer sa vision aux autres, d'appauvrir l'oeuvre et de la déflorer. »
Oui, par sa poésie brute, sa profondeur sentimentale, sa puissance évocatrice du paysage et des hommes, La Mer est un chef-d’oeuvre de grande littérature, le vrai roman de l’île d’Ouessant.
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